Immortel (ad vitam)
La science-fiction nous expose au dépassement des limites, au calcul de l'improbable et au devenir de l'humain, comme à la débauche des effets visuels et à l'invention du cinéma, miroir de nos fantasmes. Au cinéma, la science-fiction est immersive et permet de créer des mondes soudainement à notre portée. Cet été, plus de cent films à travers l'histoire du cinéma nous permettront d'en rendre compte !
En 2095 à New York, dans une pyramide flottant au-dessus de la ville, les dieux égyptiens décident de faire perdre son immortalité à Horus. Avant de faire, ce dernier peut profiter de la vie sur Terre pendant 7 jours. Il se met alors à la recherche d’une femme capable d’enfanter un dieu et croise le chemin de Jill.

Enki Bilal
Enki Bilal est un auteur de bande dessinée et réalisateur français d’origine bosniaque et tchèque. Son œuvre se situe en partie dans la science-fiction et aborde notamment les thèmes du temps et de la mémoire. En 1987, à l’âge 35 ans, il obtient le grand prix de la ville d'Angoulême, récompensant un auteur de bande dessinée pour l'ensemble de son œuvre. Il est encore aujourd’hui le plus jeune récipiendaire de ce prix. En 2004, il sort le film Immortel (ad vitam) librement inspiré des deux premiers volets de sa bande dessiné, La trilogie Nikopol.
