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La fête des pères (VOF)
vendredi 14 février 2025
à 19:15
Date
vendredi 14 février 2025
à 19:15
dimanche 16 février 2025
à 14:00
mardi 18 février 2025
à 17:30
mercredi 19 février 2025
à 19:00
Lieu
Salle Fernand-Seguin
Date
Du 7 au 19 février 2025
Admission
G
Durée
75 min
Cycles
Nouveautés

Le Centre d’art et essai de la Cinémathèque québécoise (CAECQ) a pour mission de programmer prioritairement des documentaires et des fictions indépendantes québécoises, mais également des documentaires internationaux, des films d’animation et des films étrangers sous-titrés en français en privilégiant les occasions de rencontres entre le public et les artisans des films. Sa programmation est présentée conjointement à celle de la Cinémathèque québécoise sous la mention Nouveautés.

Les séances du 16 et du 19 février seront suivies d'une discussion avec la cinéaste

La fête des pères
Réalisé par
Ayana O'Shun
Langue
Français
Pays
Québec
Année
2025
Durée
75 min
Genre
Documentaire
Visa
G
Format
Numérique
Synopsis

Dans La fête des pères, Ayana O'Shun enquête sur le phénomène des pères absents dans les communautés noires, à travers son récit personnel et celui de femmes lumineuses et résilientes du Québec et de la Guadeloupe.

La fête des pères

Ayana O'Shun

Ayana O’Shun est réalisatrice, scénariste et productrice. Ses films ont été sélectionnés dans plus d’une soixantaine de festivals nationaux et internationaux. Son premier long métrage documentaire, Le mythe de la femme noire, a remporté le Prix Magnus-Isacsson aux Rencontres Internationales du documentaire de Montréal (RIDM). Il s'agit du documentaire ayant connu les meilleures recettes en salles au Québec en 2023, en plus d’être demeurée dans le top 20 du box-office pendant 5 semaines. Il a également tourné dans plusieurs festivals à travers le monde (dont New York, Cannes, Berlin, Luxembourg, Toronto, Winnipeg et Stockholm) et a été finaliste aux Prix Gémeaux. Son moyen métrage documentaire Les mains noires – Procès de l’esclave incendiaire, sur l’histoire de Marie-Josèphe-Angélique, esclave noire accusée d’avoir incendié Montréal au 18e siècle, a remporté plusieurs prix comme le Prix Dikola du Meilleur film documentaire au Festival international du film PanAfricain de Cannes et le prix du Meilleur film étranger au Festival Écrans Noirs de Yaoundé. En outre, son court métrage Médecins sans résidence, produit par l’ONF, s’est classé comme étant le film le plus regardé sur leur plateforme pendant plusieurs semaines. Également comédienne, Ayana a joué dans de nombreuses productions, notamment au cinéma dans La fonte des glaces de François Peloquin, Le guide de la famille parfaite de Ricardo Trogi, La chute de l’empire américain de Denys Arcand; à la télé dans les séries Les révoltés, Un gars, une fille, District 31, À coeur battant et Bête noire. Elle a également joué au théâtre, dont dans la pièce de Denis Bouchard, Le dernier sacrement.

Photo : Damian Siqueiros