Soleil rouge
Afin de rendre hommage à l’iconique Alain Delon, nous proposons de redécouvrir trois films solaires parmi son immense filmographie : Plein soleil de René Clément, qui l’a consacré comme nouvelle muse du cinéma français; L’eclisse de Michelangelo Antonioni, qui l’a confirmé comme coqueluche d’un cinéma d’auteur irradié par son jeu minimaliste; et Soleil rouge de Terence Young, qui rappelle sa popularité et ses incursions dans le cinéma de genre.
En 1871, un ambassadeur japonais, flanqué de deux gardes du corps, traverse l’ouest des États-Unis afin de rencontrer le président. Ils doivent lui faire cadeau d’un sabre de samouraï, mais leur convoi transporte également de l’or et ils sont attaqués par des bandits.

Terence Young
Terence Young est un scénariste et réalisateur britannique. À l'âge de 21 ans, il entre dans le monde du cinéma en tant que script aux studios d'Elstree. Il écrit son premier scénario, On the Night of the Fire en 1940, puis obtient ensuite sa première expérience de directeur artistique pendant la Seconde Guerre mondiale. Sa carrière de réalisateur débute en 1950 avec le film Les bérets rouges (1953), mettant en vedette Alan Ladd, à la gloire des États-Unis et de la Grande-Bretagne. Les critiques ont désigné ce film comme le meilleur film d'action réalisé par Young, qui a aussi réalisé trois des quatre premiers films de James Bond - James Bond 007 contre Dr No (1962), Bons baisers de Russie (1963) et Opération tonnerre (1965) - pour lesquels il est surtout connus.

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Sur notre blogue

Delon solaire
La Cinémathèque québécoise rend hommage à Alain Delon qui nous a quittés cette année. De sa riche filmographie, nous avons extrait trois films « solaires » qui témoignent de son charme incandescent et de sa stature internationale : un film français (Plein Soleil de René Clément, 1960), un film italien (L’eclisse de Michelangelo Antonioni, 1962) et une coproduction franco-italo-espagnole tournée en anglais (Soleil rouge de Terence Young, 1971).