ACPAV : Courts métrages
Les anniversaires s’enchaînent mais ne se ressemblent pas ! Pour souligner les 50 ans de l’Association coopérative de productions audio-visuelles (ACPAV), nous présentons plusieurs longs métrages et un programme de courts afin de mesurer la place exceptionnelle occupée par cette organisation au sein de la cinématographie québécoise. Plusieurs cinéastes ayant contribué à leur vaste catalogue viendront présenter leurs films et parfois ceux des autres! D’André Forcier à Benoit Pilon, de Brigitte Sauriol à Pierre Falardeau, en passant par Léa Pool et Paul Tana (pour n’en nommer que quelques uns), l’histoire du cinéma au Québec s’écrit avec l’ACPAV depuis maintenant cinq décennies.
Un homme, une femme, un chien. Un homme qui veut vivre d’air, de campagne, et d’amour. Une femme qui cherche sa place dans cet amour. Une histoire d’amour avorté qui franchit la frontière de la haine.
Vingt-cinq ans après la mort de son père, un fils lui écrit pour lui déclarer l’amour qu’il ne lui a jamais révélé du temps de son vivant. Retrouvant sa vie dans celle de son père, le narrateur Michel Langlois se réconcilie avec lui-même, avec un calme têtu. Une oeuvre forte et belle dans son tranquille accomplissement. (Acpav)
L'ACPAV, c'est aussi du cinéma expérimental, du moins du cinéma ouvert à l'expérimentation de toutes sortes de formes d'expression cinématographique. Technique d'animation d'êtres vivants et de lieux réels, la pixillation permet à Cantin et Patenaude de faire preuve d'invention, d'humour et de fantaisie. Ce film résume l'essentiel de cinq années de recherche avec cette technique.