Happy face
Depuis 10 ans, le Prix collégial du cinéma québécois, parrainé par Québec Cinéma, célèbre notre cinéma en le plaçant au centre des regards de la communauté collégiale. Ce cycle soulignera le 10e anniversaire de cette grande fête qui permet aux étudiant.e.s de se sensibiliser au cinéma d’ici et présentera les films lauréats du PCCQ depuis 2012.
Le Centre d’art et essai de la Cinémathèque québécoise (CAECQ) a pour mission de programmer prioritairement des documentaires et des fictions indépendantes québécoises, mais également des documentaires internationaux, des films d’animation et des films étrangers sous-titrés en français en privilégiant les occasions de rencontres entre le public et les artisans des films. Sa programmation est présentée conjointement à celle de la Cinémathèque québécoise sous la mention Nouveautés.
En présence du réalisateur Alexandre Franchi
Stanislas, 19 ans, est laissé à lui-même lorsque sa mère est hospitalisée. Terrorisé par la maladie, il se couvre le visage de bandages et intègre clandestinement un atelier de soutien aux patients défigurés qu’il poussera à se révolter contre le conformisme de la société en brandissant leur « laideur » telle une arme.
Alexandre Franchi
Alexandre Franchi débute sa carrière en Finance et travaille dans le domaine des banques au Canada et dans le Golfe Persique. Puis, un mois avant d’entrer au prestigieux M.I.T. pour faire son MBA, il décide de tout plaquer et de suivre sa passion pour le cinéma. Il part ensuite faire un stage au Canadian Film Centre à Toronto (fondé par Norman Jewison) pour parfaire sa direction d’acteurs. De retour à Montréal, il est embauché comme réalisateur de publicités et se met à scénariser ses long-métrages. Les films d’Alex, où les personnages fuient le réel pour se réfugier dans l’imaginaire, sont très probablement le résultat de traumatismes subits lors de sa carrière de banquier. Mon cinéma québécois en France.