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Le franc (VOSTF)
Lieu
Salle de projection principale
Date
Le 5 décembre 2021
Durée
63 min
Cycles
Noir.e.s à la caméra

De mois en mois, le cycle récurrent Noir.e.s à la caméra permet de découvrir des œuvres réalisées ou produites par des cinéastes africain.e.s ou afrodescendant.e.s, tout au long de l’histoire du cinéma.

Lamb, la lutte sénégalaise
Réalisé par
Paulin Soumanou Vieyra
Langue
Lamb, la lutte sénégalaise
Pays
Sénégal
Année
1963
Durée
18 min
Genre
Documentaire
Format
Numérique
Synopsis

La lutte traditionnelle qui se dénomme Lamb en wolof et qui rappelle la lutte gréco-romaine, est un sport national très prisé au Sénégal. Elle a des règles particulières et très strictes. Les lutteurs s'entrainent sur la plage... Film restauré en 2K en 2018 - Partenaires de la restauration : Orange Studio, Cinémathèque Afrique, en collaboration avec PSV Films

Lamb, la lutte sénégalaise
Le franc
Réalisé par
Djibril Diop Mambéty
Langue
VOSTF
Mettant en vedette
Aminata Fall, Ma Dieye Dieye, B. Demba, Ma Dieye Dieye, Demba Bâ
Pays
Sénégal
Année
1994
Durée
45 min
Genre
Comédie
Format
Numérique
Synopsis

Marigo, le musicien, rêve de son instrument -un congoma- que lui a confisqué sa logeuse pour cause de non-paiement chronique du loyer. S'appropriant un billet de loterie nationale, il décide de le mettre en sécurité en attendant le tirage : il le colle sur sa porte et le recouvre du poster d'un héros de son enfance. Le soir du tirage, la fortune explose aux yeux de Marigo : le numéro gagnant est celui de son billet ! Marigo se voit déjà millionnaire, avec mille congomas, un orchestre, un avion particulier... Mais Marigo a collé le billet à sa porte. Il l'arrache alors de ses gonds et l'emporte au guichet de la loterie...

Le franc

Djibril Diop Mambéty

Djibril Diop Mambéty est né en 1945 à Colobane, un quartier du sud-ouest de Dakar. Il est comédien, scénariste et réalisateur sénégalais.Mambéty est l'un des cinéastes africains les plus marquants de sa génération. Il crée le premier café-théâtre sénégalais à l'âge de dix-sept ans, puis le directeur du Centre culturel français de Dakar lui prête de l'équipement et un cameraman pour tourner ses premiers courts-métrages, soit Contras' City et Badou Boy. En 1995, le réalisateur entreprend une trilogie qu'il appelle Histoires de petites gens. Il n'en tournera que les deux premiers volets, Le Franc (1995) - qui obtient le Prix du meilleur court métrage, lors du 5e Festival du cinéma africain de Milan - et son dernier film, La Petite vendeuse de soleil (1998). (Wikipédia)

Présenté en collaboration avec