Le jour où la Terre s'arrêta
La science-fiction nous expose au dépassement des limites, au calcul de l'improbable et au devenir de l'humain, comme à la débauche des effets visuels et à l'invention du cinéma, miroir de nos fantasmes. Au cinéma, la science-fiction est immersive et permet de créer des mondes soudainement à notre portée. Cet été, plus de cent films à travers l'histoire du cinéma nous permettront d'en rendre compte !
Lauréat du Golden Globes pour la Meilleure promotion pour l'entente internationale en 1952
Un jour, une soucoupe volante se pose à Washington et deux êtres en sortent : un extraterrestre humanoïde et un robot au potentiel destructeur évident. Viennent-ils pour communiquer ou détruire la planète?
Robert Wise
Robert Wise est un cinéaste américain. Il a remporté les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur film pour ses comédies musicales West Side Story (1961) et The Sound of Music (1965). Il a également été nommé pour le montage de Citizen Kane (1941) et a dirigé et produit The Sand Pebbles (1966), qui a été nommé pour le meilleur film. Parmi ses autres films figurent The Body Snatcher (1945), Born to Kill (1947), The Set-Up (1949), The Day the Earth Stood Still (1951), Run Silent, Run Deep (1958), I Want to Live! (1958), The Haunting (1963), The Andromeda Strain (1971), et Star Trek: The Motion Picture (1979). Il a été président de la Directors Guild of America de 1971 à 1975 et président de l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences de 1985 à 1988. Wise a connu un succès critique en tant que réalisateur dans une variété impressionnante de genres cinématographiques : horreur-noir, western, guerre, science-fiction, musical et drame, avec de nombreux succès répétés dans chaque genre. Sa préparation minutieuse était probablement motivée en grande partie par les contraintes budgétaires des studios, mais elle a fait progresser l'art de la réalisation cinématographique. Il a reçu le AFI Life Achievement Award en 1998.
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Sur notre blogue
Ces robots qui nous côtoient
Le cinéma a grandement contribué à forger notre imaginaire des robots. Androïdes d’apparence humaine et créatures mécaniques aux formes plus rustiques n’ont pas été employés de la même façon, ni dans leur questionnement de la moralité humaine, ni pour les sentiments qu’ils éveillent auprès du public. À l’heure où l’intelligence artificielle est bien réelle, retour sur quelques classiques robots de cinéma.