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La guerre des boutons (VOF)
Lieu
Salle de projection principale
Date
Le 11 mai 2025
Admission
Âge suggéré : à partir de 8 ans
Durée
90 min
Cycles
Histoire du cinéma français

Depuis les balbutiements de l’image en mouvement, les pionniers français ont marqué l’histoire du cinéma, tissant entre celle-ci et la cinématographie de leur pays un rapport privilégié qui n’a jamais été démenti au fil des décennies. Ce cycle récurrent entend rappeler à la mémoire des cinéphiles quelques joyaux de ce patrimoine, préservés dans les collections de la Cinémathèque.

Conservé dans nos collections

La guerre des boutons
Réalisé par
Yves Robert
Langue
VOF
Mettant en vedette
Jacques Dufilho, Yvette Etiévant, Michel Galabru
Pays
France
Année
1962
Durée
90 min
Genre
Comédie, famille
Visa
G
Format
Numérique
Synopsis

Les écoliers de deux villages français se bagarrent. Leur trophée sont les boutons qu'ils arracheront à l'ennemi. Ce combat mènera finalement ces enfants à une amitié éternelle.

La guerre des boutons
Prix et reconnaissances
Filmé à hauteur d’enfants, peuplé de jeunes héros cocasses, ce classique intergénérationnel ancré dans la France d’après-guerre n’a rien perdu de sa vivacité ni de son indépendance d’esprit, opposant à l’autoritarisme des adultes l’esprit de camaraderie et une liberté farouche.

Yves Robert

Yves Robert est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur français. Appelé par le cinéma, il est engagé par Marcel Carné pour son premier grand rôle. Il participe au total en tant qu'acteur à une cinquantaine de films, au cours desquels il fait preuve de son talent. Ensuite, attiré par la mise en scène, il tourne son premier court métrage en 1951 avec Claude Sautet comme assistant, puis dirige en 1958, Ni vu, ni connu, qui marque l'une des premières apparitions de Louis de Funès dans un premier rôle. Il devient rapidement l'un des spécialistes, au talent reconnu et au succès public, de la comédie française. En 1961, La guerre des boutons remporte le Prix Jean-Vigo. Le grand blond avec une chaussure noire et Un éléphant ça trompe énormément lui apportent la reconnaissance internationale. Ses adaptations de La gloire de mon père et Le château de ma mère sont d'énorme succès en France et à l'international. En 1977, Nous irons tous au paradis est nommé pour le César du meilleur film.

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Distribution
À propos d'Yves Robert
Filmographie
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