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Banshun (VOSTA)
Lieu
Salle de projection principale
Date
Le 2 octobre 2021
Durée
108 min
Cycles
1+1/24 images

À l’occasion de la publication du 200e numéro de la revue de cinéma 24 images, nous accueillons leurs auteurs pour une série de projections doubles qui promettent de nourrir adéquatement le cinéphile avide ! Au menu : Wong Kar-wai, Yasujirō Ozu, Tsai Ming Liang, Sofia Coppola… Chaque projection sera présentée par l’un des auteurs de la revue.

Late Spring
Réalisé par
Yasujiro Ozu
Langue
VOSTA
Mettant en vedette
Chishû Ryû, Setsuko Hara, Yumeji Tsukioka
Pays
Japon
Année
1949
Durée
108 min
Genre
Drame
Format
35 mm
Synopsis

Noriko est la seule fille de la famille Somiya à ne pas être mariée. Elle vit cependant heureuse avec son père mais ce dernier pense qu'il est grand temps pour elle de penser au mariage. Noriko est réticente à l'idée de laisser son père seul mais elle finit tout de même par accepter. Après un dernier séjour à Kyoto en compagnie de sa fille, le père finit par ressentir cette solitude que sa fille avait tant redoutée. (Wikipédia)

Late Spring

Yasujirō Ozu

Yasujirō Ozu , né le 12 décembre 1903 à Tokyo est un cinéaste japonais. Désireux de devenir réalisateur, il devient l'assistant de Tadamoto Ōkubo en 1926 et dès l'année suivante, il met en scène son premier film, Le sabre de pénitence, collaborant pour la première fois avec celui qui sera le scénariste d’un grand nombre de ses œuvres futures : Kogo Noda. Ses réalisations muettes dénotent l'influence du cinéma américain et européen.

(Wikipedia)

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“Late Spring” and the Blossoming of Ozu and Hara

Its director, sometimes referred to as the “most Japanese director of all time”, and star are both Japanese icons, though the duo are rarely viewed as a revolutionary combination. Yet, Late Spring was made during a period in Japan’s history after World War II when American forces occupied the country...

Distribution complète
L'opposition modernité (machinisme, anglicisation, gâteau crémeux) et tradition (intégration à la nature, références aux arts anciens, gâteau de soja) se retrouve imbriquée dans ce récit de la solitude inévitable comme dans la manière de raconter. Plus mobile qu'on ne l'a écrit, la caméra l'est, mais pour saisir train, bicyclette, ce qui a les apparences du pouvoir et de la liberté.
Claude Blouin (1984)
À propos de Yasujirô Ozu
Filmographie
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