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Eat My Shorts: The Early Short Films of Bruce LaBruce and Candyland Productions

Eat My Shorts: The Early Short Films of Bruce LaBruce and Candyland Productions
Lieu
Salle de projection principale
Date
Le 15 octobre 2022
Durée
68 min
Cycles
Bruce LaBruce : Tendre et transgressif

L’œuvre du Canadien Bruce LaBruce a été célébrée aux États-Unis, en France, ses films ont été montrés dans des festivals prestigieux, mais le cinéaste reste relativement méconnu au pays de la feuille d’érable. Cette rétrospective, la plus grande jamais organisée au Canada, permettra de prendre la mesure de l’audace et de l’exubérance de l’œuvre de LaBruce tout en déclinant toutes les variations de la sexualité à l’écran, de l’érotisme gai jusqu’à la transgression. Place à un cinéma queer subversif, jouissif et combattif qui ne laissera personne indifférent.

En présence de Bruce LaBruce
Voyez comment se met en place le cinéma de Bruce LaBruce en début de carrière !

Eat My Shorts: The Early Short Films of Bruce LaBruce and Candyland Productions
Réalisé par
Brue LaBruce, Candy Parker
Langue
VOA
Mettant en vedette
Brue LaBruce, Candy Parker
Pays
Canada
Durée
68 min
Genre
Expérimental, érotisme
Format
Numérique
Synopsis

Collection de six courts métrages tournés en super 8. D’esprit punk, ces home movies préfigurent déjà les principaux thèmes de Bruce LaBruce : la dérision, l’irrévérence, la provocation et la protestation, le combat politique, les références à l’histoire du cinéma et l’autoréférentialité. Les titres sont : Boy/Girl (1987), Sexbombs (réal. : Candy Parker, 1987), I Know That It’s Like To Be Dead (1987), Bruce and Pepper Wayne Gacy’s Home Movies (Bruce LaBruce, Candy Parker, 1988), Slam! (1992), Interview with a Zombie (Candy Parker, 1995)

Eat My Shorts: The Early Short Films of Bruce LaBruce and Candyland Productions

Présenté en collaboration avec

Bruce LaBruce

Né en 1964 à Tiverton, en Ontario, Bruce LaBruce étudie la théorie du cinéma et la pensée sociale et politique à l’Université York de Toronto dans les années 1980. Il signe des critiques de films dans la revue CineAction, collabore à des magazines underground homosexuels et tourne ses premiers films en super-8 vers la fin des années 1980. Ses deux premiers longs métrages, No Skin Off My Ass et Super 8 ½, le font découvrir dans des festivals spécialisés. À partir de Hustler White, Bruce LaBruce tourne une série de longs métrages reconnaissables pour leur sexualité gaie explicite, un goût de la transgression et du pastiche de même qu’un sens de l’humour abrasif. Son association avec le producteur allemand Jüngen Brüning l’amène à réaliser quelques-uns de ses films en Allemagne. Il est aussi l'auteur de films érotiques pour adultes, notamment pour les studios Erika Lust et CockyBoys. Il tourne deux longs métrages au Québec : Gerontophilia (2013) et Saint-Narcisse (2020), produits par 1976 productions. Bruce LaBruce pratique également la photographie et l’écriture, signant, par exemple, le recueil de textes Porn Diaries (2020).