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Le bon, la brute et le truand

Il buono, il brutto, il cattivo (VOASTF)
Lieu
Salle de projection principale
Date
Le 16 mars 2024
Admission
Âge suggéré : à partir de 12 ans
Durée
178 min
Cycles
À la demande générale

Les projections ponctuelles intitulées À la demande générale nous permettent de répondre aux demandes spéciales de nos spectateurs, vous ! Que ce soit un film d'une rétrospective que vous désirez revoir, ou une œuvre sur laquelle vous souhaitez attirer notre attention, nous sommes ouverts à toutes les suggestions. L'équipe de programmation recueille les suggestions du public et y répond dans la mesure du possible.

Le bon, la brute et le truand
Réalisé par
Sergio Leone
Langue
VOASTF
Mettant en vedette
Eli Wallach, Clint Eastwood, Lee Van Cleef
Pays
Italie, Espagne, Allemagne de l'Ouest
Année
1966
Durée
178 min
Genre
Western spaghetti, aventure
Format
Numérique
Synopsis

Pendant la guerre de Sécession, les chemins de trois bandits convergent alors qu'ils sont en quête du même trésor. La version intégrale du film comporte plusieurs scènes qui ajoutent à la complexité du propos de Leone et à l'ambivalence de ses personnages.

Le bon, la brute et le truand
Avec ses plans ultra-stylisés, son intrigue épurée, sa musique inoubliable, ses antihéros fascinants, son évocation de la cruauté, mais aussi son sens de la comédie, voici le chef d’œuvre à voir absolument pour s’initier à l’univers jubilatoire du western spaghetti.

Sergio Leone

Né en 1929 à Rome, Sergio Leone est le fils de l’actrice de cinéma muet Bice Waleran et du cinéaste Roberto Roberti, dont la carrière connut un coup d’arrêt du fait de son opposition au fascisme. Le hasard veut que le jeune Sergio aille à la même école qu’Ennio Morricone, qui composera la musique de ses futurs films. Après la Seconde Guerre mondiale, il débute sa carrière comme assistant auprès de cinéastes italiens (Vittorio de Sica entre autres), mais aussi américains (Robert Wise, William Wyler…). Il entame son parcours de réalisateur avec des péplums. Puis Leone a l’idée de se tourner vers le western, qu’il revisite complètement, s’éloignant du western américain alors en déclin. En 1964, Pour une poignée de dollars marque l’avènement d’un style et de codes qui vont définir le western à l’italienne, genre qui connaît un immense succès dans la décennie qui suit, avec Leone comme figure de proue. En 1984, il signe une dernière grande fresque, Il était une fois en Amérique, s’emparant cette fois de l’univers du gangstérisme américain.

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Quand l'Italie révolutionna le western

Après le succès de Pour une poignée de dollars, le bal est lancé : les cinéastes italiens créent un univers à part entière, en inventant leur propre langage de cinéma, où le scope embrasse les visages avec autant d’ampleur que les paysages.

À propos de Sergio Leone
Filmographie
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